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Au bout du monde Soulac, son église au nom prédestiné « Notre Dame de la fin des terres » et sa devise comme un espoir « Elle surgit du sable et revit »…
Une ville, à sa proue un immeuble, comme un signal, et face à lui l’immensité et l’impitoyabilité de l’océan…
Signal de la fragilité et du côté éphémère de la vie et des êtres.
Un décor, comme une scène de théâtre, dont les acteurs ont quitté la scène…
Un décor où tout déraille pour n’être plus que dissonance, cacophonie et abandon.
Des objets qui disent des vies, des espoirs, des joies, des peines.
Soulac / Le Signal, 2018
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